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PHOTO VALÉRIE MAZATAUD, LE DEVOIR

Mani Soleymanlou et Victor Andrés Trelles

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Mani Soleymanlou a envie de « déconstruire le quatrième mur ». D’explorer, de faire des essais. L’artiste et son équipe s’installent pour trois semaines à La Chapelle Scènes contemporaines avec trois événements hors normes : une reprise en espagnol de son premier succès, UN, conjuguée à un spectacle de danse mexicaine, puis une soirée mêlant jazz et théâtre, et enfin des ateliers philosophiques destinés aux enfants et à leurs parents.

Vendredi et samedi, la pièce sera jouée pour la première fois par un autre comédien que Soleymanlou — en espagnol, par Victor Andrés Trelles Turgeon, bien connu lui aussi des spectateurs québécois. Les deux sont de grands amis depuis leurs études secondaires en français à l’école Étienne-Brûlé de Toronto. Ils ont aussi fait ensemble l’École nationale de théâtre et l’Université d’Ottawa.

« J’ai l’impression que le public hispanophone de Montréal va s’identifier à cet Iranien qui débarque au Québec. Mani parle de quelque chose de très personnel, mais c’est l’expérience de tout immigrant », dit Victor Trelles.

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